Il peut être parfois compliqué de choisir un multivitaminé équilibré tant les références différentes existent. Nous vous conseillons de sélectionner un complément de qualité car il vous accompagnera au quotidien. Mais quels sont les critères prédominants ? Que faut-il dans son complément multivitaminé ?
Voici les 10 clés pour vous aider lors de votre prise de décision. Un bon complément de multivitamines/multiminéraux devrait obéir à ces 10 règles. Vérifiez qu’elles sont remplies par VM30 ici.
Règle n°1 : Une gélule ou un comprimé ne remplace pas une alimentation équilibrée
Les compléments alimentaires peuvent pallier certaines limites de l’alimentation, mais pas se substituer à elle. L’alimentation (et le mode de vie) sont deux puissants déterminants de la santé. La complexité de l’alimentation, la synergie de ses constituants ne peuvent être reproduits dans une gélule ou un comprimé.
Prendre un complément alimentaire ne permet pas de s'exonérer de l'effort permanent de choisir des aliments vrais, peu transformés, de favoriser les cuissons douces, de manger sans excès, de limiter les pesticides et les contaminants. Ces mesures ont bien plus de poids sur la prévention des maladies chroniques que les compléments de vitamines et minéraux.
Cependant, un complément multivitaminique bien conçu représente une assurance pas chère contre certains déséquilibres que l'alimentation ne peut pas toujours compenser.
Règle n°2 : Consultez votre médecin (ou votre pharmacien, votre diététicien) en particulier si vous êtes suivi médicalement si vous êtes enceinte ou si vous allaitez
Les compléments de multivitamines vendus en France et en Belgique renferment des substances actives à des doses pour lesquelles les autorités sanitaires européennes ont conclu qu’elles étaient sans risque pour les personnes en bonne santé. Mais ces substances peuvent être contre-indiquées selon votre état ou encore interagir avec les traitements que vous suivez.
La prudence consiste à consulter les mises en garde apposées par le fabricant sur les produits, et interroger le cas échéant un professionnel de santé.
Règle n°3 : Des nutriments compatibles et en synergie
Certains fabricants formulent des multivitamines en y versant la totalité des vitamines et des minéraux connus. D’autres au contraire mettent une vitamine mais pas une autre.
Dans le premier cas, le risque est de voir des nutriments entrer en compétition, comme c’est le cas par exemple pour le fer et le zinc, où un excès de fer (2 pour 1) diminue l’absorption du zinc.
Dans le second cas, le risque est la perte de synergie, les vitamines et les minéraux – à condition qu’ils soient compatibles - étant plus efficaces ensemble qu’isolés. C’est le cas en particulier des vitamines C et E, où la vitamine C restaure la vitamine E oxydée.
Règle n°4 : Pas de fer
Le fer est un nutriment indispensable, et des déficits sont possibles chez les enfants en croissance rapide, les femmes qui ont des règles abondantes, les femmes enceintes, les végétaliens. Des déficits entraînent de la fatigue, peuvent conduire à l’anémie ferriprive et à d’autres problèmes de santé.
Mais si les déficits en fer doivent être évités, les excès aussi car celui-ci peut alors se détacher des protéines qui le gardent en réserve ou le transportent et favoriser la formation des radicaux libres et espèces réactives de l’oxygène qui participent au vieillissement accéléré et peuvent conduire à des maladies chroniques.
De plus, les multivitamines qui renferment du fer peuvent réagir avec la vitamine C pour générer des radicaux libres.
Pour ces raisons, les multivitamines ne devraient pas contenir de fer et des suppléments de fer ne devraient être pris qu’en cas de déficit suspecté ou avéré, à l’initiative d’un professionnel de santé.
Règle n°5 : Pas de cuivre
Le cuivre est, comme le fer, indispensable à la santé, mais les déficits en cuivre sont rares. Au contraire, le cuivre a tendance à s’accumuler dans le corps, car il est excrété lentement. Au-delà de 2 mg/j en plus de ce qu’apporte l’alimentation, le corps ne parvient pas à éliminer le cuivre apporté par des suppléments. Or un excès de cuivre pourrait diminuer l’immunité et le statut antioxydant.
Le cuivre peut aussi réagir avec la vitamine C et favoriser des radicaux libres et autres espèces réactives de l’oxygène.
Il est donc conseillé d’éviter les compléments multivitaminés renfermant du cuivre.
Règle n°6 : Pas de manganèse
Les déficits en manganèse sont rares, donc pourquoi en mettre dans des compléments multivitaminés ? D’autant que dans plusieurs études, les personnes qui consomment beaucoup de manganèse ont connu des troubles neurologiques.
Il est donc préférable de ne pas aller au-delà des apports alimentaires..
Règle n°7 : Des vitamines naturelles quand c’est justifié
Pour la vitamine E, le bêta-carotène, les formes naturelles sont préférables.
Pour la vitamine C, formes naturelle et synthétique ont la même disponibilité, donc on peut opter pour la forme de synthèse.
Dans le cas de la vitamine B9 (folates), il existe une forme de synthèse (acide folique) et une forme dite naturelle (méthylfolate). Les deux sont acceptables. D’un côté, la grande majorité des études scientifiques ayant démontré cliniquement les bénéfices des folates ont utilisé de l'acide folique, qui est le précurseur du méthylfolate, et se révèle beaucoup plus stable. D’un autre côté, le méthylfolate est une forme biologiquement active, mais par manque d'essais cliniques contrôlés et randomisés, on ne sait pas s’il a des avantages réels au plan clinique.
Règle n°8 : La vitamine D de préférence sous la forme D3.
La vitamine D (25(OH)D) existe sous deux formes :
- D2 ou ergocalciférol, d’origine végétale
- D3 ou cholécalciférol, d’origine animale ou végétale (lichen).
La D3 est la forme que notre corps fabrique et qu’il connaît le mieux. Elle est deux fois plus disponible que la D2, et plus efficace dans les essais cliniques. C’est cette forme de vitamine D qu’il faut rechercher dans un complément alimentaire.
Règle n°9 : De la vitamine K sous ses deux formes
On ne trouve pas toujours de vitamine K dans les compléments multivitaminés, et quand on en trouve, c’est essentiellement de la ménaquinone (K2) et pas de la phylloquinone (K1).
Or s’il est intéressant d'apporter de la vitamine K pour prévenir ou corriger le risque éventuel de déficit, elle devrait l’être sous ses deux formes K1 et K2.
Règle n°10 : 1 gélule par jour, ce n’est pas crédible
Pour qu’un complément multivitaminé apporte une diversité suffisante de micronutriments et de composés phytochimiques, dans des quantités suffisantes, il est nécessaire de faire appel à plus d’un comprimé ou d’une gélule par jour.
Références :
• Solomons NW. Competitive interaction of iron and zinc in the diet: consequences for human nutrition. J Nutr. 1986 Jun;116(6):927-35.
• Huang, J., May, J.M. Ascorbic acid spares α-tocopherol and prevents lipid peroxidation in cultured H4IIE liver cells. Mol Cell Biochem. 2003, 247, 171–176
• Ebany J. Martinez-Finley, Claire E. Gavin, Michael Aschner, Thomas E. Gunter. Manganese neurotoxicity and the role of reactive oxygen species. Free Rad Biol Med. 2013 (62) :65-75.
• Schwalfenberg GK. Vitamins K1 and K2: The Emerging Group of Vitamins Required for Human Health. J Nutr Metab. 2017;2017:6254836. doi:10.1155/2017/6254836
• Traber MG, Elsner A, Brigelius-Flohé R. Synthetic as compared with natural vitamin E is preferentially excreted as alpha-CEHC in human urine: studies using deuterated alpha-tocopheryl acetates. FEBS Lett. 1998 Oct 16;437(1-2):145-8.
• Johnston C.S., Dancho C.L., Strong G.M. Orange juice ingestion and supplemental vitamin C are equally effective at reducing plasma lipid peroxidation in healthy adult women. J. Am. Coll. Nutr. 2003;22:519–523.
• Tripkovic L, Lambert H, Hart K, et al. Comparison of vitamin D2 and vitamin D3 supplementation in raising serum 25-hydroxyvitamin D status: a systematic review and meta-analysis. Am J Clin Nutr. 2012;95(6):1357-1364. doi:10.3945/ajcn.111.031070
Est-ce que VM30 respecte ces 10 règles d'or ?
Règle n°1 : Un complément ne remplace pas une alimentation équilibrée
☑ VM30 est un complément alimentaire conçu pour accompagner et soutenir une alimentation saine, pas pour la remplacer.
Règle n°2 : Consultez votre médecin (ou votre pharmacien, votre diététicien) en particulier si vous êtes suivi médicalement si vous êtes enceinte ou si vous allaitez
☑ Pour tous nos compléments alimentaires, nous attachons un soin particulier aux conseils d’utilisation et aux mises en garde. Nous préférons des utilisateurs éclairés.
Règle n°3 : Des nutriments compatibles et en synergie
☑ Nous avons élaboré la formule de VM30 en tenant compte des compatibilités entre les nutriments afin d’éviter un complément « fourre-tout », inadéquat ou incomplet.
Règle n°4 : Pas de fer
☑ VM30 n’a jamais contenu de fer. Nous considérons qu’une supplémentation en fer doit faire l’objet d’une prescription médicale.
Règle n°5 : Pas de cuivre
☑ VM30 n’a jamais contenu de cuivre. Les déficits en cuivre sont très rares et le cuivre a tendance à s’accumuler dans le corps.
Règle n°6 : Pas de manganèse
☑ VM30 n’a jamais contenu de manganèse. L’intérêt des suppléments de manganèse n’a jamais été démontré et les risques existent.
Règle n°7 : Des vitamines naturelles quand c’est justifié
☑ La vitamine E de VM30 est un mélange des 4 tocophérols, sous leurs formes naturelles.
☑ Le Bêta-carotène présent dans VM30 provient d’une micro algue (la Dunaliella).
☑ La disponibilité de la vitamine C synthétique est la même que celle de la version naturelle, ce qui permet de proposer un complément à un prix compétitif.
☑ VM30 contient de l’acide folique, forme de synthèse qui a démontré ses bénéfices lors d’essais cliniques.
Règle n°8 : La vitamine D de préférence sous la forme D3.
☑ Dans VM30 on trouve de la vitamine D3 (cholécalciférol).
Règle n°9 : De la vitamine K sous ses deux formes
☑ VM30 contient les deux formes de vitamine K : la phylloquinone (K1) et la ménaquinone (K2).
Règle n°10 : 1 gélule par jour, ce n’est pas crédible
☑ Pour intégrer toute la diversité des composants de VM30, nous avons été amenés à proposer une prise quotidienne d’au moins 5 gélules.
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